Les
cuisiniers et les pâtissiers on au XIXe des carrières très proche et
souvent ils passe de l'un a l'autre selon les besoins ou leurs envies ,
si au début du siècle on voit l'apogée des décorateurs et des créateurs
de grande pièces a la décorations compliqué , et donc des pâtissiers ,
cela est du surtout a l'ambiance qui règne a cette époque ou le
romantisme et l'histoire hellénique et romaine antique font fureur ,
Carême et Brillât-Savarin en seront les chantres .
Mais le réalisme et les besoins d'une cuisine plus mangeables et moins décoratives (
et plus simple a confectionné ) reprendront le dessus rapidement et les
vrais cuisiniers et uniquement cuisiniers vont prendre les commandes
des fourneaux et renvoyer les pâtissiers a leur laboratoire ou ils
excelleront dans la création de magnifique pâtisserie qui reste encore a
notre époque les musts des gourmands .
Les
hommes de goûts sont eux les vrais génies de la gastronomie de ce
siècle , qu'ils soit homme de lettre , homme de lois , noble ou encore
artistes en tout genre , ces vrais amoureux de la bonne chère vont grâce
a leurs écrits ou leurs action en faveur des arts de la table, servir
d'aiguillon et amené a une reconnaissance de la gastronomie a la hauteur
d'une art majeur , qu'elle n'avait jamais connus avant cela et que même
a notre époque (ou la cuisine connais un succès considérable ) elle na pas.
Certain
des cuisiniers et pâtissiers qui sont repris ci-dessous sont plus
connus par leurs parcourt politique ou de grand voyageurs, que comme
créateurs culinaire , mais ils ne faut pas oublié que le siècle était
très politique et agité , et qu’ils n'était pas facile de se tenir a
l'écart des changements de l'époque et que les conditions de travail
était dure , plus proche de l'esclavage que d'un travail librement
consentis, ce qui explique la révoltes de certains d’entre-eux
Les
heures prestées dans les cuisines comme dans les ateliers de pâtisserie
ou en boulangerie, n'était en général jamais moins de 12 heures par
jour , 6 a 7 jours par semaine et que aussi bizarre que cela puisse
paraître la mécanisation du siècle va aggraver la situation .
APPERT (FRANÇOIS).
Né
a chalons-en-champagne en 1749 , fils d'aubergiste , ils travaille très
tôt en cuisine et en confiserie , au service de plusieurs grandes
maisons nobles , ils ouvre une boutique de confiserie a Paris jusqu’à la
révolution, elle connaîtra un grand succès . Ils s'engage politiquement
a ce moment-la en devenant président de la section des Lombards ( qui représente plusieurs quartiers de Paris ) ce qui lui vaudra trois mois de prison suite a un retournement de situation.
Ayant
compris que l'avenir appartenait a la conservations des aliments pour
nourrir le peuple , ils fonde son premier établissement dans la rue
Folie-Méricourt a Massy et ces premiers essais public date de 1804 , ils
met au point ces premières conserves en appertisant ( pasteurisation avant la lettre )
les bocaux , le gouvernement sous recommandation du ministre, le comte
de Montalivet lui accorde une subvention de 12.000 francs . La marine
fut bien-sur la première a passer commande , ces affaires se développent
fortement et couvert d'honneur,ils remit la direction a son neveux et
mourut a Massy en 1842 .
AURICOSTE DE LAZARQUE ( ERNEST-JEAN-BAPTISTE-FRANCOIS 1826-1894 )

Si
vous cherché un livre vivant sur la cuisine lorraine , truffé de
nombreuse anecdotes de l'ancien temps , acheter son livre qui se vend
encore sur
internet .
AVICE ( JEAN ?-?)
Pâtissiers
français qui fut le protecteur et l'inspirateur d’Antonin Carême et qui
lui en fut toujours reconnaissant dans ces écrits .
BEAUVILLIERS ( ANTOINE 1754-1817
)
Qui ouvrit le premier vrais restaurant a Paris en 1782 " LE
BEAUVILLIERS " personnage intéressant que ce Beauvilliers , d'origine
modeste il devint en peu de temps le chef de cuisine du Prince de
Condé et d'autres nobles de haut rang , a 32 ans il ouvre donc son restaurant a Paris dans les beaux quartiers , l'établissement était
conçu pour ne pas choqué les habitudes des gens du monde , décors
soigné , personnel qualifié et en grandes tenue ,cuisine digne des
meilleurs table , de plus Beauvilliers connaissait bien sa clientèles et
il officiait en tenue d'officier de bouche , épée au coté ,
cherchant a prévenir les moindres désir de cette noblesse , aidez par
une mémoires sans faille qui lui permettait de se rappelé les moindre
caprices des clients fréquentant sont établissements . Pour tous cela on
peut dire qu'il est le véritable inventeur de la restauration moderne ,
une questions resteras sans réponse cependant , comment a d’il pu se
hissez si haut et si vite pour un homme de basse extractions , même
doué comme il semble l'avoir été .
Son
restaurant traversa la révolutions sans trop de problèmes , mais ils
était resté trop sympathisant de l'ancien régime ,comme sa clientèles
et il finit par se faire saisir sont établissement par les
révolutionnaire , dépité il partit en Angleterre ouvrir un restaurant a
Londres " LA TAVERNE DE LONDRES " sont succès fut moindre qu'a Paris
et après quelques années il rendrait en 1808 a Paris ou il ouvrit
rue de Richelieu " LA GRANDE TAVERNE DE LONDRES" mais entre temps de
nombreux restaurants s'était ouvert sur la place et le succès ne vint
pas ,il dut fermé sont restaurant et se réfugia dans l'écriture avec
sont livre de cuisine " l'art du cuisinier ,1814 " qui ne réveilla pas sont anciennes gloire , il mourut en 1817 a Paris oublié de tous .
Il
avait ouvert la voie et de nombreux restaurant vont s'ouvrir en France ,
dont beaucoup a Paris , pour toute les classe et tous les goûts , la
révolution était passez par la , les cafés qui avait fait les beaux
jours du 18e siècle se mirent eux aussi a vendre de la nourriture et
même les cabaret et autre brasserie .
BENARD ( ÉDOUARD 1834- ??)
Né a Baccarat (Meurthe et Moselle
) en janvier 1834 , débuta en cuisine à l'âge de 9 ans au Château de
la Cristallerie de Baccarat . A onze ans ils émigra a New-York avec ces
parents ou a peine arrivée ils travaillas a l’Hôtel Métropolitan sous
les ordres d'un chef français Charles Roux .
La
famille attirer part la rué vers l’ouest se lança dans l'aventure en
partant vers les Montagnes Rocheuses , mal lui en pris le père fut fut
tué par des indiens et cela amena le jeunes Édouard dans des
pérégrinations a travers le pays et même a cuba . De retour au USA ils
se fixa a Cincinnati , toujours en travaillant en cuisine .
En
1861 de retour a New-York ils s’engage dans l'armée confédéré , la
guerre de sécession venant de commencé , blessé a plusieurs reprise et
promu officier , ils quittait l'armée en 1866 avec le grade de capitaine
.
Il
repris sont métier mais cette fois sur les mers ou il fut chef sur les
paquebots de l’époque sur des lignes transocéanique qui vont l’amener en
Europe , en Chine ou en Amérique du sud , par la suite ils travaillât
en Australie et servis de guide au général Sherman lors de sont voyage a
Jérusalem
Successivement
par la suite chef de cuisine a l’hôtel Atlantique en virginie puis a
nouveaux a New-York a L'Astor et enfin a a la direction de l’hôtel
continental de Salt Lake City .
Bénard
représente bien le cuisinier ouvert a l'aventure et au expérience
culinaire dans le vaste monde de l'époque , ils parlait couramment le
français biens sur , mais aussi l'anglais et l'espagnol , ainsi que le
Cheyennne et le Sioux.
Fortune faite ils rentra en France ou ils mourut , entouré de touts les honneurs de ces collègues .
BERCHOUX ( JOSEPH )
Né a Saint-Symphorien-de-Lay , Loire en 1765 , mort à Marcilly , Saône-et-Loire en 1839 .
Berchoux
est un poète complètement oublié a notre époque , mais a la fin du
XVII et au début du XIX il fut le poète de la gastronomie et inventa
d'ailleurs le nom avec son poème Gastronomie , né dans une
famille qui voulait appartenir a la noblesse sans en avoir les origines ,
il trouvât sa voie d'abord dans la justice comme beaucoup de ces
prétendant au sang bleu , juge de paix dans sa ville en 1790 et
professant des idées royalistes , ce qui a l'époque était osé pour ne
pas dire dangereux , il fut obligé de s'engager dans les armées de la
République , ou il réussit a ne jamais faire usage de son fusil .

Publiant
quelques poésies a compte , il décidât en 1800 de venir tenté sa chance
a Paris avec le manuscrit de son meilleur ouvrage , la Gastronomie , œuvre
en ver dédié a la franche gaieté et au bon vivant qui appréciait les
bonnes nourriture, ce poème connus un succès retentissant et lança sa carrière.
Sa renommé faite Berchoux , se fit sa place dans cette
coterie qui a l'époque faisait et défaisait les réputations de
cuisiniers et restaurateurs , ils a sa place comme Brillât-Savarin et
d’autre dans le panthéon des amphitryons du siècle .
BERNARD ( ÉMILE )
Né
à Dole en 1826 , il y est décédé en 1897 . Sa longue carrières au
service des empereurs de France et puis d’Allemagne et d'autre Rois et
Prince en font certainement le plus proche connaisseur des goûts et des
cuisines des tètes couronnées qui dirigeait a l’époque l’Europe , après
la défaites de Sedan en 1870 il n’hésitât pas a passer du services de
Napoléon III a celui de l'empereur d'Allemagne , ( un vrais patriote)
et sans que son attitude ne déclenche la moindre opprobre en France, la
cuisine et les cuisiniers semblait a l'époque au dessus de ces basses
considérations politique.
Plus culinairement parlant il est surtout connus pour avoir introduit le service a la russe en France .
Il écrit avec Urbain Dubois , La Cuisine Classique , paru en 1856 , livre qui reprend toutes les grandes recettes classique du début du siècle.
BIGNON ( LOUIS 1816- ? )
Né
a Hérisson dans l'Allier , le jeune louis partit faire son
apprentissage de cuisinier a Paris dans les différents restaurant a la
mode qui venait de s'ouvrir dans la capitale , montrant une vives
sagacité et une remarquable approche de la clientèles ,ils fut bien
vite engagé pour réorganisé en 1843 le Café Foy don il fit en quelques
années un des phare de la gastronomie .
En
1847 il repris cette fois a sont compte le Café Riche dont ils réussit
très rapidement a faire le restaurant le plus réputé de Paris pour ne
pas dire du monde ( j’oserai du monde) . Ayant compris qu'une
bonne table devait nécessairement s'accompagner d'une cave a la hauteur ,
il entreprit de rassembler les meilleurs vin du monde .
Bignon
avait aussi compris que flatté la clientèle en la considérant comme
Beauvilliers comme un invité royale était commercialement parfait pour
fidélisé celle-ci , en prenant la commande lui-même de ces clients les
plus célèbres et en annonçant cette commande en cuisine de façons a ce
que le client l'entente " chef , soignez-moi ce dîner , ces messieurs
sont l'avenir de la France "il inventât le fameux V.I.P.
Investissant
dans l'agriculture et les vignes son pays d'origine l'Allier , il fut
aussi reconnus comme un défenseur des vignerons et du paysan , il prit
une part active dans la lutte contre le phylloxera qui détruisit une
bonne parties des vignobles du pays a partir de 1863
Louis Bignon prit sa retraite a la fin du siècle et mourut quelque temps plus tard .
Respectueux
aussi de sont personnels , il grava dans le marbre en cuisine le nom
des plus grands chefs qui travaillèrent dans son restaurant , il fut
aussi en pointe dans le combat pour une nouvelle hygiènes dans les
débits de nourritures .
Alexandre Dumas fréquentas assidûment le Café Riche et bien des recettes de sont livre de cuisine ( petit dictionnaire de cuisine ) provienne de la .
BISIER ( ?-? ).
Confiseur
et pâtissier d'origine Polonaise qui vint rejoindre le duo Émile
Bernard et Urbain Dubois en charge des cuisines de l'empereur
d’Allemagne , c'est Bisier qui mis au point les bases de pièces montées
en sucre filée entre autre, restées célèbres en Europe par leurs
magnificence .
![]() |
DESSIN DE ROBIDA |
BRILLÂT-SAVARIN (ANTHELME 1755-1826 ) .
Cet écrivain qui connut la gloire avec un seule ouvrage " la Physiologie du goût
" fut a la base d'un mariages de l'art de la prose et de la cuisine ,
cette école du bon goût marqué par des envolées lyrique et un certain
goût pour le romantisme et l'antique , était le parfait double de
l'école de cuisine de Carême dont il chanta les louanges plus que tous .
Né
a Bugey d'une famille de Magistrat , il se dirigea tout naturellement
vers cette carrière , il étudia aussi la médecine et la chimie et de
plus il était un violoniste très convaincant , ce qui lui permit d'en
vivre en tant que premier violon au Premier theater de New-York lors de
son exil au États-Unis .
Avocat
a Belley lors des événement de 1789 il fut élu député a l’assemblé
constituante ; il ne se distincte pas spécialement par son action ;
seulement par un discours très dur pour la peine de mort .
![]() |
DESSIN DE ROBIDA |
A
la dissolution de l’assemblé il préféra s'exiler , d'abord en Suisse ou
se révéla un chroniqueur gastronomique tout a fait convaincant en
relatant ces différents repas dans sa correspondance, dont notamment a
Lausanne au " Lion d’Argent "ou moyennant quinze batz il
passe en revue les trois services complets du menu . Mais l'avenir
s’annonçant sombre en Europe il préféra s'exiler au Etats-Unis ; ou il
fut tout a tour professeur de français le jour et violoniste le soir .
Les
temps s'étant calmé pour lui en francs il débarqua en septembre 1796 au
Havre , se plaçant sous les ordres du gouvernement en place il devint
secrétaire des armées de la République en Allemagne , puis commissaire
du gouvernement à Versailles . Il était a ce poste lorsque survint le 18
brumaire , qui l'amena au poste de conseiller de la cour de cassation .
![]() |
DESSIN DE ROBIDA |
Ces
différentes révolutions politique ne troublèrent jamais sa digestion ,
c'était avant tout un épicurien qui consacrât tout son temps libre a la
codification de la gastronomie selon ces vues , sobre , malgré le fait
qu'il passait toutes ces soirées dans le meilleurs des sociétés et ces
salons , ou il brillait par l'étendue, la variété et la solidité de ces
connaissances .
Ces
durant cette période qu'il concocta sa bible du goût , elle connut des
sa sorties en 1825 a compte d'auteur , un succès considérable , succès
qui dura pratiquement tout le siècle .
Il
nous apparaît aujourd’hui grandiloquent et pétant mais son livre est
cependant suffisamment intelligent a lire que pour faire oublié ces
défauts , il emprunta au grand philosophes des siècles passés la ligne
naturaliste qui était encore a la mode a l'époque .
A
la mort de sa tante , il rajouta son nom de Savarin au sien Brillât
pour en faire son patronyme , en 1826 il prend froid lors d'une
commémoration annuelle depuis la restauration de la mort de Louis XVI le
21 janvier, il est emporté par une pneumonie quelques temps plus tard. (on
ne compte plus les morts que firent les interminable messes ,
enterrements et commémorations en hiver a l'époque ) .
Que peut d'on retenir a notre époque de Brillât-Savarin , qu'il fut
l'un des premiers , si pas le premier a associer l'art a la gastronomie
et a ce titre la on peut lui en être éternellement reconnaissant en
cuisine .
BOULESTIN ( MARCEL XAVIER 1878-1943 ).
Cuisinier français qui fit une grande carrières en Angleterre et au U.S.A .
BOUZOU ( GEORGES ?-? )
Cuisiner
français du début du XIXe , qui accomplis toutes sa carrière au service
de maisons nobles , le comte de Lavalette , la duchesse D'Albe et enfin
chez le prince Orloff , Ambassadeur de Russie en France .
Ces pour le prince que Bouzou mis au point une des recette le plus a la mode de ce début de siècle " la Queue de boeuf farcie " .
BRUNFAUT ( 1821-1881)
Modeleur
français né a Milan d'un pers ancien officier de l'armée française et
devenu modeleur , qui lui appris le métier . Brunfaut père engager dans
la lutte politique de la révolution de 1848 partit a Berlin en amenant
son fils ou celui-ci commença a travailler dans les fonderies d'argent
et de bronze , ou il ne tarda pas a ce distingué .
Urbain
Dubois et Emile Bernard a la recherche de modeleur pour leurs pièces
montées , firent appelle a lui et l'on lui doit les riches moules et
décorations de ces pièces montées dont les bases était travaillée par
Bisier . Ce travail comme celui de Bisier ne fut jamais reconnu par les
deux cuisiniers qui n'en firent jamais mention dans la nouvelle édition
de leurs livres en deux volumes "la Cuisine Classique "
Brunfaut a partir de ce moment-la ne s'occupa plus que de cuisine , il mourut a Berlin en 1881.
CAILLAT ( APOLLON 1857-1942 )
Cuisinier
français né dans le Var et qui sa douzième année débuta comma apprenti à
l’hôtel Victoria de Toulon , dès ce moment il dédia sa vie et carrière a
la cuisine . Après avoir tourné comme bon nombre de ces confrères dans
les restaurants du pays , il est nommé chef des cuisines du restaurant
de l’hôtel du Louvre à Marseille , cette établissement ouvert en Août
1863 faisait la renommé gastronomique de la cité phocéenne . Caillat fut
l'ami d’Escoffier et partageait les idées moderne de celui-ci sur
l'évolution du métier et de la restauration.
Il est l'auteur d'un fascicule qui est encore édité a notre époque et qui s’appelle " 150 Manières d'accommoder les Sardines "
CAUDERLIER . ( PHILIPPE-EDOAURD ).

En 1859 fortune faite ils vend ces activités.
Par
la suite ils fut l'un des promoteurs de la recette du waterzooi , plat
régionale Gandois , travers le monde et l'on lui doit aussi la rédaction
de sept livres de cuisine qui eurent un succès considérable pour
l'époque a travers le monde , dont le best-seller L’ÉCONOMIE CULINAIRE
vendu a prés de 60.000 exemplaire, il meurent a Gand en 1887 .
Sa
participation a l’évolution de l'art culinaire , fut surtout par la
promotion d'une cuisine plus simple et plus adapter au monde qui
bougeait
CARÊME ( MARIE-ANTOINE 1784-1833)
" Les beaux arts sont au nombre de cinq, à savoir : la peinture, la sculpture, la poésie, la musique et l’architecture, laquelle a pour branche principale la pâtisserie ".
Cette phrase résume a elle seule Carême.

Il
passe chez Gendron , qui lui permit de faire des extra en dehors .
C'est à cette époque qu'il eut l'occasion de connaître M.Boucher ,
ancien chef de la maison de Condé , et qui était alors chef de bouche du
prince Talleyrant . On sait que la table de ce prince , au milieu des
prodigalités du Directoire , avait préparé les principes du luxe
délicat et d'exquise sensualité qui servirent à tous les empires
d’Europe . C'est là qu'il travailla sous le ordres de Laguipière et
Riquette , autres maîtres vénéré par lui . C'est en reconnaissance des
protections de ce prince que Carême lui dédia plus tard son Pâtissier Royal .
Jusque-là
, Carême avait pratiqué son art sous la direction de ces maîtres ; mais
, dès lors , il devait improviser . La pratique ne lui suffisait plus
,il voulait approfondir les théorie , copier des dessins , faire des
plans d'architecture , analyser ; mais la science lui faisant défaut ,
il dut rester un praticien . Très certainement , Carême ne pouvait tout
connaître , il était grand pâtissier , beau parleur et il est devenu
grand cuisinier ; si les ingrates sciences eussent été sa disposition ,
il aurait posé les bases de la cuisine de l'avenir , mais combien de
peines , d'écoles , de dévouement , de patience et de pénétration ne
faut-d'il pas pour passer de la cuisine au siège de la science . "
Je contemplait , dit-il , de derrière mes fourneaux , les cuisines de
l'Inde , de la Chine , de l'Égypte , de la Grèce , de la Turquie , de
l'Italie , de l'Allemagne et de la Suisse ; je sentais crouler sous mes
coups l'ignoble fabrication de la Routine "
Carême
avait grandis avec l'empire , il avait des goûts esthétiques et des
mœurs aristocratique ; il aimait les monarques , et il vit avec douleur
ce que j'aurais vu avec joie s'écrouler l'empire ;
Il fallut le forcer pour qu'il exécuta dans la plaine des Vertus , le gigantesque banquet royal de 1814 ( banquet qui réunissait tous les vainqueur de Napoléon et le nouveaux roi de France )
JOSEPH FAVRE , LE DICTIONNAIRE UNIVERSELLE DE LA CUISINE , PARIS 1905 .
Cette
article consacré a Carême en 1905 par un chef de cuisine d'origine
Suisse , montre bien la dévotion qui entourait encore plus de 60 ans
après sa mort l'illustre Carême , mais il n'avait pas que des
courtisans et nombre de chefs de cuisines de son époque , ainsi que des
gastronomes , n’appréciât pas sa façon de concevoir la cuisine , comme
vous l'avez lu dans les lignes ci-dessus ; il était avant tout un
pâtissier qui était devenus cuisinier et l'on lui en voulait pour cela ,
et pour lui seule l'extravagance de la décorations et la taille de
pièces montées pouvait caractérisé une cuisine gastronomique , il
n'élaboras pratiquement aucune recettes vraiment nouvelles ni aucune
technique de travail et l'on peut dire que il n'était pas le précurseur
de la cuisine moderne que certains voulait voir, mais bien le
représentant d'une cuisine basé surtout sur la vue plutôt que le goût ,
cette cuisine plaisait beaucoup sous l'empire et la restauration , elle
disparaîtra avec eux .
Après
la chute de l'empire , Carême se résignât a ce mettre aux service du
prince régent d'Angleterre mais cela ne durât pas il retourna en France
ou il se mis a l'ouvrage pour mettre sur papiers ces théorie culinaire ,
le prince régent étant devenus Roi , celui-ci le rappela a Londres
comme chef de cuisine du palais . Ne supportant toujours pas le climat
anglais ,il quitta bientôt la Tamise pour ce mettre au services du Tsar
Alexandre de Russie , il fit aussi quelques voyages a Vienne pour
organiser de somptueux banquets pour l'empereur D’Autriche .
Il
semble que a cette époque lassé des voyages et des jalousie de ces
collègues , après un dernier engagement a Londres au service de Lord
Steward , il s'installas définitivement a Paris ou il ouvrit un
établissement rue de la Paix , maison qui connus rapidement un grand
succès et permit a Carême de se mettre a l'abri du besoin et de consacré
son temps a l'écriture . Mais usé par une longue maladie et en partie
paralysé , Il mourut le 12 janvier 1833 .
Sentant
sa fin proche , Carême voulut revivre ces deniers instant au milieu de
son art et de sa gloire a un ami qui venait tous les jours lui apporté a
manger , Carême dit les yeux fermées " C'est toi , merci , bon ami ;
demain tu apportera du poisson ; hier , tes quenelles de sole étaient
très bien faite mais mal assaisonnées et la sauce mal liés ; voit-tu ,
il faut " Carême fit un mouvement de la main mimant l'usage d'un fouet
et il ne bougea plus ; il mourut en donnant une leçon de cuisine .
Ouvre
de Marie-Antoine Carême ; la Cuisine Française au XIXe sicle , cinq
volumes ; le Cuisinier Parisien , un volume ; le Pâtissier Royal , deux
volumes ; le Pâtissiers Pittoresque , un volume ; le Maître d’Hôtel
Français , deux volumes
CLÉMENT ( GASTON 1879-1973 )
Était un cuisinier français née a Lille,
qui fit presque toutes sa carrière en Belgique ou à l'étranger au
service de riches belge . Il fut notamment au service de deux roi Léopold II et
Albert I.
Après une guerre de 14-18 mouvementée , ils se tourna vers les nouveaux médias de l'époque, la radio et puis après 1945 la télévision , il devint une véritable vedette des ces moyens de communications en Belgique et doter d'un plume alerte , il commit une cinquantaine de livre de cuisine sur les années 1920-1070 . Très traditionaliste on ne peut pas dire qui bouleversât les recettes de cuisine "

Albert I.
Après une guerre de 14-18 mouvementée , ils se tourna vers les nouveaux médias de l'époque, la radio et puis après 1945 la télévision , il devint une véritable vedette des ces moyens de communications en Belgique et doter d'un plume alerte , il commit une cinquantaine de livre de cuisine sur les années 1920-1070 . Très traditionaliste on ne peut pas dire qui bouleversât les recettes de cuisine "
CHORON ( ALEXANDRE 1837-1924 )
Ce cuisinier est resté dans les mémoires pour sa sauce ,qui est une béarnaise tomaté et aussi pour son célèbre banquet de 1870 . Ne sachant plus nourrir les animaux du jardin D’acclimatation , les officiel ure l'idée de faire d'une pierre deux coups ,si je puis dire en servant ces animaux exotique en guise de plat principal pour ce fameux banquet et c'est Choron qu fut chargé de préparé ces nourriture exotique , dont voici quelques exemple .
Consommé d'éléphant , Civet de Kangourou , Cote D’Ours rôtis sauce poivrade , Cuissot de Loup , Terrines d'Antilopes Truffés , Chameau rôtis à L'anglaise , Trompes D’Éléphant sauce Chasseur , Éléphant Bourguignon . Ces viandes tropical furent a la mode dans restaurants Parisien pendant quelques temps .
Ce cuisinier est resté dans les mémoires pour sa sauce ,qui est une béarnaise tomaté et aussi pour son célèbre banquet de 1870 . Ne sachant plus nourrir les animaux du jardin D’acclimatation , les officiel ure l'idée de faire d'une pierre deux coups ,si je puis dire en servant ces animaux exotique en guise de plat principal pour ce fameux banquet et c'est Choron qu fut chargé de préparé ces nourriture exotique , dont voici quelques exemple .
Consommé d'éléphant , Civet de Kangourou , Cote D’Ours rôtis sauce poivrade , Cuissot de Loup , Terrines d'Antilopes Truffés , Chameau rôtis à L'anglaise , Trompes D’Éléphant sauce Chasseur , Éléphant Bourguignon . Ces viandes tropical furent a la mode dans restaurants Parisien pendant quelques temps .
Écrivain
et homme de loi , il perdit à la révolution sa charge et survécut
difficilement grâce a sa plume en traitant touts les sujets a la modes
et en écrivant les paroles du célèbre chansonnier Béranger, ils écrit
deux livres de cuisines qui eurent beaucoup du succès , il finit
misérablement et on le retrouva mourant de faim sur le porche de la
cathédrale Notre-Dame .
CLOSE ( JEAN-JOSEPH ? -? ) ;
En
1782 le Maréchal de Contades nommé gouverneur d’Alsace emmenât son chef
de cuisine le normand Close , ou celui-ci découvrit le foie gras , il
devinât que en associant le foie a une pâte feuilletée on obtenait un
entremet digne de Lucullus , et ces comme cela qu'il inventa le pâté de
foie gras , qui est depuis considéré comme un des plus grands bienfaits
de l'humanité .
Âpres
la révolution un cuisinier du nom de Doyen , jeune et ambitieux se
pencha sur cette merveilles et lui trouva se qui lui manquait , de la
truffe du Périgord et le miracle s’accomplis .
COUSIN DE COURCHAMPS ( PIERRE-MARIE-JEAN 1783-1849 ) .
Ami et concurrent en amour de Chateaubriand , ce gastronome et surtout bon viveur , écrivit un livre de cuisine ( bien oublié maintenant )qui fut publié en 1839 , Neophysiologies du goût , dans la droite ligne des livres de Brillât-savarin .
CUBAT ( PIERRE 1844-1922)
Né a Aix-Les Bains il monte rapidement après son apprentissage a
Carcassonne a Paris pour travaillé avec le grand chef Adolphe Dugléré au
Café Anglais crée en son temps par Beauvillier , par la suite il part
recommandé par Dugleré en Russie ou il entre au service du Tsar
Alexandre II après avoir servi de chef au Grand duc .
En
1883 il rentre en France ou il s'essaie a la viticulture , mais sans
succès , a la suite de quoi il repart en Russie pour prendre la
direction du Café de Paris a Saint-Pétersbourg qui renomme après l'avoir
racheté " Café Cubat " , en 1891 fortune faite en peu de temps ,il repart a Paris pour ouvrir le restaurant" Cubat
" dans l’hôtel de la Paiva qu'il vient de racheté . A l'occasion de son
passage a Paris en visite officielle le Tsar Nicolas II lui demande de
reprendre du service a la cour impériale et il repart après avoir cédé
sont restaurant de Paris a son frère .
Ils
fut durant cette période un proche du tsar et travailla a la réussite
des banquets grandioses que la cour donnait a l’occasion des visites des
chefs d'état et des tètes couronnées . Il rentre en France en 1905 pour
prendre sa retraites .
Un
de ces titre de gloire est d'avoir été chef de cuisine de trois tsars
Alexandre II , Alexandre III et Nicolas II et d'avoir été membre
fondateur de l’Académie Culinaire de France .
CUSSY ( LOUIS , MARQUIS DE CUSSY 1766-1837 ) .
Gourmet
délicat , esprit fin et courtois avant tout , le marquis né sous les
plus belle auspices et héritiers de belle fortune , avait comme
passe-temps la gastronomie . Il organisait deux fois par semaine dans sa
demeure parisienne des repas resté fameux ou l'esprit de ces
dissertation de fin de repas sur les mets qui venait d’ère dégustés ,
restèrent fameuse et lui permettait de faire étalage de ces
connaissances très approfondie dans la cuisine .
Pour
pouvoir maîtrisé tout les ingrédients de ces repas il se transportait
des six heure aux Halles de Paris pour choisir la compositions du repas ,
ils n'hésitait pas ensuite a participer avec son chef a la confections
de ces repas . Il ne croyait pas au splendeurs gastronomique du passé et
en un certain sens il était moderne et très anti-Carème qui professait
la sophistication et la beauté du décor . Sur la qualité et la
fraîcheurs des mets Il disait qu'il préférait dîner dans un restaurant a
un louis que de mangé chez Lucullus au salon d'Apollon .
Ayant
choisi a la révolution de resté en France , il fut nommé par Napoléon
préfet du palais , et c'est lui qui fut en charge de nourrir l'empereur
qui comme on le sait n'accordait que peu d'importance a cela . A la fin
de l'époque napoléonienne il fut chargé de ramené Marie-Louise à Vienne ,
la restauration ne lui pardonnât pas son choix de servir l'empereur
arboré et il perdit fortune et situation
Il
fut donc obligé d'accepter une place d'intendant au service de la
maison du Marquis de Lauriston , dont il était une ancienne
connaissance ; c'est là qui écrivit son livre " l'art culinaire " .
Grimod de la Reyniere disait de lui qu'il avait crée 366 recettes différentes de poulets .
DARENNE ( EMILE 1861-? )
Né
a Paris en 1861 , il fit son apprentissage a la Tapisserie Sureau à
Paris . IL prendra par la suite le chemin des cuisines et fut chef du
fameux jockey-club en entre autres .
Attirer
par l’étude de l’alimentation , il écrit un ouvrages intéressant
intitulé " Histoire des Métiers de l'alimentation "puis il participe a
la création du journal "la Cuisine Française et Étrangère " dont il
devint le directeur.
On lui doit aussi "Traité de la Pâtisserie Moderne " .
DESAUGIERS ( ANTOINE 1772-1827 )
Poète
, chansonniers , doté de nombreux talent d'écriture , dont des
vaudevilles très couru a son époque , fils du compositeurs Marc-Antoine
Désaugiers , il apparaît surtout ici pour ces nombreux poèmes et
chansons sur l'art du bien vivre et bien manger (et bien boire , si on en crois la rumeur), dont la
Table ; Quand on est bien mort , c'est pour longtemps ; Il faut boire
et manger ; la Manière de vivre cet ans ; l’Épicurien ; les Repas de nos
pères ; Plus on est de fous , plus on rit ; etc.... La plupart de ces créations était destinés a la Société des membres du '"Caveau moderne " , dont il était secrétaire , et qui se réunissait au"Rocher de Cancale "
Très prolixe et infatigable sur ce sujet il mourut a Paris en 1827 .
DRONNE ( LOUIS-FRANCOIS 1825-? ).

DROUET ( ???? )
Cuisinier
de la duchesse de Berry (belle-fille de Charles X ) , celle-ci après la
mort de son mari le duc de Berry poignardé en 1820 par Louvel
,s'installa au Tuileries ou elle remis au goûts du jours les fastes de
la cour d'avant la révolution , Drouet donna alors tous son génie dans
les faste royales des fêtes données , et dans le but de vulgarisé le bon
ton des réceptions qui s'était parait-d'il perdus avec la petit caporal
corse .
DUBOIS (URBAIN 1818-1901 ) .
Ce
natif de Trets dans les Bouches-du-Rhône , fit son apprentissage au
service de la famille Rothchild , puis passa successivement dans
plumassiers grands restaurants parisiens , dont le Rocher de Cancale ,
célébré par le poète Desaugiers .Il se mit par la suite au service du
Prince Orloff a Saint Peterbourg , Orloff ancien ambassadeur a Paris
était connu comme un de plus fin épicuriens et francophile de son temps
.
Dubois
créera pour lui le Veau Orloff . En 1864 il part prendre la direction
des cuisines du Roi de Prusse et futur empereur Guillaume 1er . Après
la guerre de 1870 , Guillaume dans une crise de patriotisme écarta
Dubois et s’efforça de manger la cuisine allemande , cela ne durât pas
longtemps et il rappela Dubois , qui en profita pour s'adjoindre son ami
Émile Bernard avec qu'il il avait écrit en 1856 "la Cuisine Classique " et qui avait perdu son emploi de chef de cuisine de Napoléon III , suite a la victoire de Guillaume I , petite vengeance .
Les deux chefs occupèrent alternativement et mensuellement le service de l'Empereur jusqu'en 1885 .
DUGLÉRÉ ( ADOLPHE 1805-1884 )
Élève
de Câreme , fut chef des plus grands restaurant de la capitale dont le
célébrissime Café Anglais , il est aussi le créateur des pommes Anna ,
du potage Germiny et des garniture Dugléré qui sont encore a la mode a
notre époque .
DUMAS PÈRE (ALEXANDRE 1802-1870 ).
Ne
pas mentionné Alexandre Dumas lorsque l'on parle de gastronomie au XIXe
est tout simplement impensable tant ils est présent dans toute les
conversation qui on trait au noble penchant pour les bonnes choses .
On à l'impression que le fait d'avoir u une jeunesse difficile et faire maigre plus souvent qu'à son tour
, lui on donné l'envie de ne plus jamais avoir faim dès qu'il aurait la possibilité financières pour cela .
Durant
ces nombreux voyages en Europe et autour ils passait autant de temps a
exploré les cuisines locales que les vestiges des civilisations
anciennes . Les pages qu'il a écrit sur la façon de manger des
autochtones , son parmi les plus drole et brillante des ces carnets de
voyages et revenu en France il repris la fréquentation assidue des
auberges , restaurants et autres gargotes de la place , ou il laissait
plus que de raison le fruit de son labeur . Si il fut pourchassés par
plus de 150 créanciers et du vendre ces biens , puis fuirent en Belgique
, cela est du en grande partie par son appétit insatiable .
Il
fut l'associé du fameux baron Brise pour l'exploitation du fameux
Jockey Club dans les années 1860 et si il n'est pas un créateur de
nouvelles recettes ou technique de cuisine , son enthousiasme a faire
progressé la cause on servis d'aiguillon a toutes une générations de
cuisiniers qui n'attentait que cela pour montré leur talent au grands de
ce monde . Plus rabelaisien que vraiment adepte de la physiologie du
goût de brillât-savarin , comme dans sa littérature , il ramenait la
gastronomie a sa vrais place au cœur du monde et non pas destiné à une
espèce d'élite sur son nuage qui dégustes des plats seule digne d'eux,
et se causant de pauvre plébéien qui se nourrissait de plat simple .
Dès le début de ces rencontres avec Vuillemot ( denis-joseph 1811-? ) , il trouva un ami et un conseiller pour l'élaboration de son dictionnaire de cuisine .
Celui-ci
réussis le faire publier après la mort de Dumas , appelé d'abord le
Petit Dictionnaire de Cuisine en 1872 , il parut de nouveau en deux
volumes en 1873 sous le nom de Grand Dictionnaire de Cuisine , cette
seconde versions est beaucoup plus étoffé , surtout par des récits sur
la vie de Dumas et l'histoire de l’alimentation a travers les âges. A
noté que Dumas , n'hésitait pas a copié mot pour mot , des recettes de
cuisine de livres plus anciens , quelques fois en citant l'auteur
originale , mais pas toujours , on peut lui pardonné car c'était courant
a l'époque , et pratiqué par presque toutes les personnes qui on un
jour ou l'autre commis un livre de cuisine .
DUNAND ( PÈRE ET FILS ??? ) .
Dunand
père d’origine Suisse , s'engagea , comme nombre de ces concitoyens
chassées par la misère , dans les armées française au XVIIIe , devenu
cuisinier du Prince de Condé ( 1736-1818 ) il y fit rentrer son fils pour lui succédé dans la place , celui devint contrôleur de cette importante maison princière .
A
la révolution , le Prince émigra aux Pays-Bas , et ensuite en Italie et
enfin a Coblence ; Dunant fils le suivi pendant douze ans en qualité de
cuisinier ; mais fatigué des ces péripéties et malade il rentre en
France . Rétabli il rentre au service de Napoléon en qualité de
cuisinier , attaché a l'empereur , comme il l'avait été au Prince , il
suivra l'empereur partout dans ces campagnes et c'est a lui que l'on
doit notamment " le Poulet Marengo " , il fit si bien que ils
devint bientôt maîtres d’hôtel attaché a la personne de l'empereur , il
resta fidèle jusqu'au derniers jours de celui-ci en France , mais sa
santé ne lui permit pas de suivre a Sainte-Hélène . Après le départ de
Napoléon Dunand se retira en Suisse .
ESBRAT ( LOUIS ???) .
Contemporain
de Carêmes a laquelle on la souvent comparé , il fut le chef de cuisine
, puis le chef de bouche du prince Talleyrant ( 1754-1838 ) jusqu'à la
mort de celui-ci .
![]() |
AUGUSTE ESCOFFIER À GAUCHE A LA REMISE DES PRIX DES MEILLEURS CUISINIERS DE FRANCE 1932 |
ESCOFFIER ( AUGUSTE GEORGES 1846-1935 ).
Bien
que fils de forgeron , sa destinée était plus tôt sous le signe de la
marmite , en effet une bonne parties de sa famille était dans la
restauration; et c'est avec un oncle a qui appartenait le "Restaurant
Français " à Nice qu'il est initié comme apprenti au métier . En 1863 il
devient sous-chef au "Cercle Masséna " puis chef au "Restaurant des Frères Provençaux " , dès ce moment sa carrière va connaître
une ascension vers les sommets , chef de lors de l'exposition universelle de 1867 , il crée entre autre la poire belle hellène , la salade eugénie , les noisettes d'agneau cora pearl ,
entre autre . Mais la guerre de 1870 , va changé tout et Escoffier
nommé chef de cuisine du Maréchal Mac Mahon au quartier général de
l'armée du Rhin , va connaître la débâcle de l'armée française et se
retrouvé prisonnier à Wiesbaden ou il passa trois ans , cette période ne
fut pas perdu par lui , car constatant qu'il ne pouvait plus nourrir
les officiers comme cela se faisait avant la guerre selon les principes
de Carême , la disette régnant il inventa , la cuisine légère , en
réduisant les quantités de plat servis et la compositions de ceux-ci ,
ainsi que l'ordre de menus, la cuisine moderne était ainsi crée dans la
douleur d'une guerre .
Son
retour en France va le voire faire trois ans de saison a Nice avant
qu'il n'ouvre un traiteur et équipé de salles de restaurant , le Faisan
Dorée a Nice .
La
fin du XIXe est marqué par la créations de nombreux hôtels de grands
luxe , le développement des voyages en trains et la naissance du
tourisme de luxe qui en suit , va amené une clientèles de plus en plus
nombreuses en France , et Escoffier qui a vendu ces affaires dans le
midi et prend la direction d'un grand traiteur Parisien la Maison Chevet va
rencontré au même moment un autre génie qui ce lance dans le métier de
l’hôtellerie de luxe César Ritz , il vont donné au restaurant des grands
hôtel une réputation digne des étoiles de l’hôtel et bientôt ces
restaurant qui servait de la cuisine d’hôtel , ce qui était presque une
insulte , vont devenir les locomotives de la restaurations de luxe et la
clientèles va si précipité dans ces années appelée a juste raison LA BELLE ÉPOQUE .
Successivement
Ritz et Escoffier vont travaillé au Grand Hôtel de Monte Carlo et puis
Lucerne et enfin le Savoy de Londres , leurs chef-d’œuvre , de 1890 à
1897 , Escoffier va y crée quelques uns de plus grands classiques de la
cuisine la Crêpe Suzette , la Pèche Melba , le Suprême de Volaille
jeannette , etc ...
En
1897 Ritz et Escoffier sont licencié du Savoy pour une sombre histoire
de disparition de vins et spiritueux et pour avoir reçu des cadeaux de
la part des fournisseurs ( pratique courante à l’époque et qui reste quelques fois encore d'usage ) .
En
1898 , Ritz s'entourant de financiers se lance a Paris en ouvrant son
propre hôtel , Escoffier qui est associé dans l'affaire , met un point
d'honneur a organisé et équipé la cuisine façon la plus moderne possible
, il impose aussi une organisations du travail plus respectueuse des
personne y travaillant ( moins d'heures , meilleurs conditions d'hygiène pour le personnels , salaire plus élevé, respect du syndicat ),
mais Escoffier sait aussi que travaillé avec un associé aussi obsédé
par la perfection que Ritz n'est pas facile , aussi il part l'année
suivante à Londres pour l'ouverture d'un autres hôtel mythique le Carlton , il y restera jusques 1920 et permettra au Carlton d’être considéré comme le meilleur restaurant du monde .
Âpres
une vie bien chargé , il prend sa retraite a Monte Carlo ou il
continuera a pesé sur la gastronomie mondiale par ces conseils et ces
écrits , il est notamment l'auteur de la préface du premier Larousse
Gastronomique , il meurt en 1935 .
Auguste
Escoffier est par son intelligence dans le travail et l'organisation de
celui-ci le vrai créateur de la cuisine moderne , grand saucier ,
rôtisseur d’exceptions , il réduisit les temps de cuisson et fit faire a
la cuisine un vrais régime pour l'adopter au conditions du monde
moderne qui arrivait , ayant de vrais capacité a faire son show en salle
pour vendre sa cuisine et il savait que cela plaisait au clients , il
fut aussi un cuisinier qui connaissait la réalité sociale en
restauration et ces dures conditions et chercha toujours a amélioré la
vie en cuisine et en salle .
FAVRE (JOSEPH 1848-1903 ).
Suisse
par naissance , il partit très jeunes en France ou il devint apprentis
au fameux Café Anglais , a partir de ce moments la il côtoya les plus
grands chefs dans divers établissement ou maisons huppé , en France ou a
l'étranger. Mais le plus grands mérite de Favre est d'avoir lancé un
premier journal , en 1877 , qui parlait de cuisine et qui n'était pas
écrit par un homme de lettre . Dès ces moment il devint lui aussi un
ardent partisan de la propagations des idées plus moderne pour la
cuisine et l’hygiène , et l'on lui doit la création , en 1879 , d'une
espèce d'internationale des cuisiniers avec "l'Union pour les Arts Culinaire " qui
ce répandit a travers le globe et la création d'une première exposition
culinaire . A partir de la il abandonnât la cuisine pour ce consacré a
l'écriture et a la défense de la gastronomie Française et de
l'amélioration de la vie ménagère quotidienne . Si à notre époque ces
théories sur l’alcoolisme et l’hygiène alimentaire peuvent sourire , il
n'en constituait pas moins a l’époque une avancée certaine par rapport
au scientifiques , qui sur ce point était resté très attardés . L'autre
grande mission de Favre fut de réunir toutes les connaissance sur
l'alimentation et la cuisine dans un dictionnaire qui sera le précurseur
du Larousse gastronomique , commencé en 1883 par la parution sous forme
de fascicule , il réunit les divers articles pour édité en 1888 sont "
Dictionnaire Universelle de Cuisine " , l'ouvrages fut
régulièrement mis a jour et édité une dernière fois en 1905 , après sa
mort . Que retenir de Favre , d'abord son désir de reconnaissance et
sont académisme , lui enlève toute prétention au titre de novateur en
cuisine , ardent défenseur de Carême et Brillat-Savarin , il ignora
complètement les seule vrais novateurs de son époque qu'était Auguste
Escoffier et Prosper Montagné . Mais si ce bilan semble peut positif ,
c'est faire abstraction de son combat pour la reconnaissance de sa
profession et son rôle précurseur dans l'écriture d'un vrais
dictionnaire culinaire .
FLOTTE( BENJAMIN 1814-1888 ) .
Né
à Cuers dans le Var , ce cuisinier se fit remarqué par sa vie politique
mouvementé , dès le début de sa carrières il montre des dispositions
pour l’agitation syndicales et en montant a Paris, il essaie de regroupé
les cuisiniers et boulangers dans un même combat pour l'amélioration
des conditions de travail . Condamné a la perpétuité en 1839 et bientôt
gracié . Il est durant la révolution de 1848 a la tête des émeutiers
avec Blanqui pour conquérir le parlement , l'échec de la révolution le
voit condamné a la cinq ans de prison , libéré , il part au Étas-Unis ou
il travaille comme cuisiniers avant d'ouvrir plumassiers établissement a
travers le pays qui connurent sous sa direction intelligente , enfin
dirigé vers la restauration , un franc succès .
Mais
reprit par ces veux démon il revint à Paris pour combattre avec la
commune , l'échec des communard le voit se transformé en négociateur
pour échangé Blanqui contre les otages enfermés a Mazas . Mais Thiers
refusa cette échanges et Flotte partit dans le Var revoir sa famille ,
âpres avoir tenté de faire évader un ami Blanquiste qui devait être
déporter en Nouvelle-Calédonie , il repartit a San Francisco reprendre
les rênes de son restaurant qu'il avait laissé au bon soins de son
neveux .
En 1884 , Flotte revint en France dans son pays natal , ou il mourut en 1888 .
FULBERT-DUMONTEIL ( JEAN-CAMILLE 1830-1912 ) .
Journaliste
français , né à Vergt ( Dordogne ) , le 10 avril 1830 .
Fulbert-Dumonteil débuta en 1862 au Figaro Hebdomadaire et le créateur
du journal H de Villemessant , le remarque rapidement par son style
alerte et châtié , très original , il se fait rapidement un nom dans la
presse et commence a écrire des articles sur la gastronomie , il est un
des premiers si pas le premier a écrire sur se sujet .
Durant sa longue et fructueuse carrières dans la presse il travaillât pour le Mousquetaire de A. Dumas, La France , Le Charivari et le Petits Marseillais ,
entre autres . Écrivant des articles aussi bien des articles
scientifique , que gastronomique ou des articles sur les fait de société
.
Il
livrât aussi une trentaine de livres sur les sujets les plus variés ,
comme La Vie des Fauves , l'Histoire de l'Eau, etc , ou des romans . Il
participa aussi a divers livres sur la cuisine .
Mais
son livre le plus important pour la gastronomie ne fut édité que en
1906 , Almanach des Gourmands . Fulbert-Dumonteil aimais a ce point la
gastronomie qu'il lui fut décerné par les plus grandes chefs de l'époque
le titre de Maître à Goûter .
GÉRARD (ADOLPHE 1844-1900 ).
Ce
Sarthois u très tôt la foi et se dirigea vers le séminaire ou il entre à
15 ans , a la suite d'un petit héritage ils semble que sa vocation n
'était aussi puissante qu'il le pensait , car il s'enfuit ver Paris ou
il dilapide le dit héritage en deux temps trois mouvements . A la suite
de quoi il part vers Londres ou il traîne quelques temps avant de
prendre le bateau vers les États-Unis , ou il est successivement
militaire , mineur et cow-boy . A la suite de sa désertion de l'armée ,
il change son nom en Louis Dupuy ( difficile de faire plus Français ) et part travailler comme journaliste au Rocky Moutain News
ou il couvre la rué vers l'or, ce qui le décide a redevenir mineur , mais un grave accident met fin a cette aventure .
Les
habitants de Georgetown rassemble assez d'argent pour qu'il ouvre un
restaurant dans une ancienne boulangerie , et en quelques années ,
Gérard a réussi a transformer la boulangerie en hôtel restaurant de
première classe , l’hôtel de Paris , et son restaurant est devenu le
must des gourmets dans les Rocheuses , très raffiné l’établissement
servait la meilleurs viandes de la région dans une vaisselles en
porcelaine de limoges et des couverts en argents .
Fin
lettré et polyglotte , il fut un des premiers a électrifié son
établissement , il succombe en 1900 subitement d'une pneumonie .
GILBERT ( PHILÉAS 1857-1942 ) .
Cuisiner
français contemporain de joseph Favre et qui participa a la création de
l'académie de cuisine dont il fut le premier lauréat en 1890 ,
récompensé déjà par le premier prix au concours culinaire de 1888 . Ce
chef de cuisine fut pendant de nombreuse années au fourneau du célèbre
restaurant Bonvalet à Paris , il se tourna vers la fin de sa carrières
comme Favre vers l'écriture en participant à l'élaboration du
Dictionnaire Culinaire , ancêtre du Larousse Gastronomique .
Pâtissier
français , né a la Souterraine ( Creuse ) ; il est l'inventeur des
écussons , silhouettes , thermomètres et autres appareils qui porte sont
nom et toute destinées a la tapisserie , nom bien oublié maintenant ,a
l’époque cependant ces inventions vont faire progressé la pâtisserie
vers une technique moderne qui lui faisait défaut jusque-la ;
Il à écrit un livres très intéressant de pâtisserie paru en 1905 " Le Nouveaux Pâtissier Confiseur Glacier "
![]() |
BUISSON DE HOMARDS PRÉSENTÉ AU BANQUET DU DUC D'AUMALE, HAUTEUR 3 MÈTRE . |
GOUFFÉ ( JULES 1807-1877 ) .
Bien
que considéré comme un cuisinier par certain , Gouffé fut avant tout un
pâtissier qui se lança dans la cuisine sur le tard , formé par son père
, pâtissier reconnu , il fut remarqué par Carême qui le prit sous son
aile et il participa notamment avec lui au fameux banquet donné par la
ville de Paris au Duc d'Angouleme pour son expédition victorieuse en
Espagne , ce magnifique repas fut servis a plus de 7.000 personnes en
1823 , il réunissait la crème des cuisiniers et des pâtissiers et était
composés de plus de 100 pièces montées , dont certaines dépassait 3
mètres , 300 entremets froids , 100 entremets chauds et plus de 300
entremets sucrées . Une centaines de cuisiniers et pâtissiers
travaillèrent plus de trois semaines a l'élaboration de ce chef-d’œuvre .

Gouffé
écrivit un certain nombres de livres sur la cuisine et la pâtisserie ,
on le considère comme un cuisiniers moderne , mais je pense qu'en fait
ils n'était que le continuateur d'une cuisine basé surtout sur la
décoration et non sur l’élaboration d'une recette , digne héritier de
Carême il répétait sans cesse que l'on devient cuisinier mais que l'on
naît rôtisseur ( Pâtissier ) , ce qui était le cris du cœur de
sont mentor et prouve bien qu'il c'est toujours sentis plus décorateurs
pâtissier que cuisiniers .
GRIMOD DE LA REYNIERE ( BALTHAZAR 1758-1838)

Né
à Paris , ce gastronome était fils de fermier général et petits fils de
charcutier , mélange au combien bénéfique pour la futur passion de
Balthazar , les nourritures terrestres.
Après
une jeunesse agité faites de voyages et la découverte d'un talents
d'écrivain , son père parvint a le faire nommer avocat . Il défendit
avec fougue la veuve et l'orphelin et surtout les malheureux écrasées de
taxe , et cela souvent gratuitement. Doté par la nature d'un physique
pas très avenant, il compensait par un esprit digne de l'époque et
souvent en butte au problèmes de relations avec sa famille , il s'en
échappait en fréquentant les cercles d'intellectuelles de l'époque ou il
pouvait assouvir sa passion pour les belles femmes et les joies de la
tables . Les problèmes avec sa famille et sa plume trop acide pour
l’époque le pousse a faire un tour d’Europe , revenus en France a Lyon ,
il échappe a la terreur et devient un brillant négociant . Sous le
directoire, il revient à Paris et commence a rédigé et a édité son Almanach des Gourmets ,
qui est la première vrais chronique de l'évolution de la cuisine durant
cette époque , elle paraîtra de 1802 à 1812 , il donne des notes au
cuisiniers et au restaurants exactement comme nos journalistes actuelle ,
et en 1808 il publie le Manuel des Amphitryons .
L'un
des grands plaisirs de Grimod était de donner des dîners élégants en
petits comité en sa maison des Champs-Élysées , ou la qualité des mets
se trouvait rehausser par une mise en scène digne d'un théâtres ou d'un
opéra avec même une machinerie , qui faisait apparaître ou disparaître ,
des personnages ou des objets .
L'une des plus célébrée de ces agapes , fut organiser en honneur au cochon et dont voici la description.
"Vous
êtes prié d'assister aux convoi et enterrement d'un gueuleton qui sera
donné par messire Balthazar , disait le bristol d'invitation "
Les
invités , au nombre de vingts-deux dont des femmes habillé en hommes,
avant de rentrer , trouvèrent des gardes qui contrôlèrent les porteurs
de billets, ceux-ci était habillé a l’antique et armé , dirigeait les
convives vers une pièce noire et immédiatement un rideau se leva et
apparus une salle brillamment éclairé par plus de trois cents bougie et
décoré , ou le milieux trônait un catafalque .
On
se mis a table et le souper fut magnifique , il eut neuf services dont
un de cochon .Et Grimod ayant demandé aux convives s'il trouvait le
souper bon , en cœur il lui fut répondu ; excellents "Messieurs , reprit-il , cette cochonnaille est la façon de tel charcutier cousin de mon père "
A
ce moment , on vit bouger le catafalque ; tous les regards se portèrent
dessus , lorsqu'on vit sortir le cochon de Grimod tout papilloté et
harnaché de rubans multicolore , se promenant sur la table et prenait
part au festin . Les bougies furent éteintes et nul ne pu savoir ce qui
s'était passé au dessert .
Le lendemain ce repas resté célèbre fut nommé le repas des cochon .
Grimod
de la Reyniere à écrit plus d'une trentaine d'ouvrages de grande
qualité et traitant de nombreux sujets , les quinze dernières années de
sa vie il la passa dans le châteaux familial a mangé,si l'on peut dire ,
le restant de son héritage .
GUIGNARD ( ???)
Ce
pâtissier connut son heure de gloire pendant la première moitié du XIXe
, dans sa pâtisserie de l'Odéon qui fut très à la mode à l'époque ou il
créa son gâteau Guignard , il u comme élève entre autre Pierre Lacam .
![]() |
BRIGADE DES CUISINIERS DE CAMPAGNE DE E. KRANTZ |
KRANTZ (EUGÈNE 1850-1899 ).
Naquit
a Mulhouse dans une famille de cuisiniers, très tôt il montrât des
dispositions pour la cuisine de qualité et il entama un périple dans les
grandes maisons de France de d’Europe , dont la Russie ou il fut nommé
en 1881 Kamer-fourrier ( titre équivalent a grade de lieutenant-colonel ) ,
c'est a dire officier de bouche du Tsar , a la cour d'Alexandre III .
Pendant de nombreuses années il remplit ces hautes fonctions
gastronomique avec un talent digne de la cour de Saint-Pétersbourg et
une capacité administrative à gérés les 700 membres du personnels , qui
était nécessaire pour suppléer au désir de l'Empereur et de
l'Impératrice , ainsi que de la nombreuse courts qui les suivait.
A
noté que lors des grandes manœuvre d'été , trois trains était
nécessaire pour transporter les cuisines et les cuisiniers ainsi que le
nombreux personnel et nourriture , le Tsar désirait mangé en campagne
comme dans son palais .
Malade et épuisé par ces hautes fonctions il rentrât a Mulhouse a la mort du Tsar en 1892 , ou il mourut le 26 février 1899
LACAM ( PIERRE 1836-1902 ).
Pâtissier
particulièrement inventif , qui mis au point une longue listes
t'entremets et de desserts sucrés . En 1865 , il publia Le Pâtissier-Glacier , livre de recette dont la base est son travail personnel
,
il travailla a améliorer le matériel du pâtissier en mettant au point
une gaufreuse . Vers la fin de sa carrière il se dirige ver l'écriture
et le partage de ces connaissance en publiant Mémorial de la Pâtisserie , il participe aussi a la rédaction du journal la Cuisine Française et continua a publier des ouvrages de vulgarisation de la pâtisserie , il meurt en subitement en Août 1902 .
LAGUIPIERE (??-1812 )
Ce
célèbre cuisinier français est né à la fin du XVIIe siècle , il fut
apprentis a la maison du Maréchal de Condé ou il apprit la grandeur du
service a la française , admiré par certains jalousé par d'autres sont
caractère intransigeant un peu comme Carême qui fut son élève pendant
deux ans , lui amena beaucoup de jalousie dans le métier , il n’empêche
qu'il fut un des maître de la cuisine de l'époque .
Laguipiere
fut pendant un temps le chef des cuisines de Napoléon , mais l'on se
doute que deux caractère aussi entier avait beaucoup de mal a s’accorda ,
c'est pour cela qu'il partit à Naples rejoindre le Prince Murat qui
venait d'y être nommé Roi . Il suivit Murat lors de l’expédition
malheureuse de Russie . Mais l'hiver Russe et sont épouvantable froidure
lui furent fatale , gelée de hauts en bas , incapable de bouger , il
fut ramené attaché à l'arrière de la voiture de Murat a Vilnat ou il
mourut dans d'atroce souffrance .
Carême dans sont ouvrage " Le Cuisinier Parisien " lui rend hommage de belle façons.
LANDRY (ALPHONSE 1835-??)
Cuisinier
né à Thomery (Seine-et-Marne ) , Landry chercha et trouva le point de
cuisson chimique précis du sucre et son échelle de température , il
inventa aussi le poêlon qui permettait a l'époque de faire du sucre
filer . Il travailla aussi sur sa conservation et fut le premiers a crée
des chef-d’œuvre en pièces montées en sucre qui purent dès lors se
conservé .
LEPAGE (???? ).
Cuisinier
qui accompagna Napoléon à Sainte-Hélène , ou il ne resta que deux ans ,
le climat meurtrier de l'île l'obligea a quitter , il fut remplacé par
Piéron , ensuite par Lafosse et celui-ci par Chandelier . Le climat de
l'île était tellement détestable que les autorité en place eurent le
plus grand mal a trouver du personnels et ils furent obligé de faire
venir 50 coolies pour servir de serviteurs a l'Empereur et son
entourages . Napoléon se plaignait sans arrêt de la qualité de la
nourriture et de sa diversité , rendant la vie impossible au cuisiniers
et son entourages faisant de même , cela explique le peut d'empressement
des cuisiniers a resté .
Les
produits alimentaire était aussi de mauvaise qualité et rarement en
quantité suffisante , cela et la rotation des cuisiniers et peut être a
l'origine des problèmes de santé de l’Empereur , après la mort de
celui-ci on s'aperçut qu'il avait couché le dernier cuisinier sur son
testament ( Chandeliers ) et celui-ci reçu 25.000 francs de l'époque ,
ce qui était une somme importante , Chandeliers rentra a Paris et pris
sa retraite en province ou il mourut en 1840 .
![]() |
GUIDE LA VIE PARISIENNE 1885 , IL Y AVAIT DEUX ENTRÉES ,UNE BOULEVARD BONNE NOUVELLE ET L'AUTRE RUE HAUTEVILLE . |
MARGUERY (JEAN-NICOLAS ?-1910 )
![]() |
1900 |
Créateur
du restaurant Marguery , boulevard Bonne Nouvelles à Pâris en 1860 , il
éleva son établisement au statut d'institution , et le nom de Marguery
en devint un nom commun pour restaurant , il y avait des Marguery pour
les gueux et des Marguery pour les bourgeois ; on ouvrit des Marguery
partout en province et même en Algérie , la franchise était né mais sans
aucun bénéfice pour le créateur.
Toujours
présent dans son établissement du matin au soir et souffrant de
terrible blessure au dos , suite a la blessure par revolver que lui
avait infligé un serveur Allemand licencié brutalement en 1870 ( la balle n'avait pas pu être enlevé et touchait la colonne vertébrale ) , il
tenait courbé en deux dans la salle toujours présent au moindre désir
de sa clientèle . Il fut aussi a avant-garde pour l'équipement en
machine électrique de sa cuisine , hachoir , fourneaux , trancheuse
etc...
A
notre époque on ne dirait pas restaurant en parlant de son
établissement mais une brasserie , ouverte du matin tôt a tard dans la
nuit , c'était le rendez-vous des élites, des militaires , des artistes
et des politique , tout se beau monde se mélangeant dans les salles
d'inspirations , indienne , flamande ou encore mauresque, la sole
Marguery était son étendard gastronomique .
Marguery
se retira , riche et célèbre et cela après avoir toute sa vie
professionnelle été très actif pour la corporations des restaurateurs et
cuisiniers, et la défense des liberté syndicale du personnelles de la
restauration , il mourut en 1910 , son restaurant resta jusque dans les
années 1930 un lieu important a Paris , mais la clientèle avait changé
et c'était surtout devenu un restaurant d'hommes d’affaire et
d'industrielle , l’établissement disparu avant 1940 .
![]() |
GUIDE LA VIE PARISIENNE 1927 . |
MONSELET ( CHARLES 1828-1888 )
Né à Nantes , fils de libraire il fut élevé dans les livres et comme il disait " Ma ressource deviner le livre . Mon père en vendait .. moi j'en fis "
; Écrivain prolifique et curieux , doté d'une plume piquante et fine à
la fois , il fut aussi journaliste et et chroniqueur . Sa prose
précieuse digne du XVIIe sicle fit dire de lui par son ami Pierre Véron "
C'est la Monsieur qui c'est trompé de siècle " .
Et
y avait aussi pour ne pas dire surtout le Monselet gastronome et
gourmand , il en vécu très bien car ces livres traitant du sujet '
l'Almanach Gourmand , le Gourmet , Lettre gourmandes , la Cuisinière
poétique " furent des best-seller avant l'heure .
D'un
naturel sociable il s’entendait a merveilles avec les cuisiniers ,
pourtant connu pour être soupe au lait , si sa réputation de gourmets
éclipsa ces contemporains comme Dumas ou le Baron Brisse , c'est parce
que il était beaucoup plus fin que eux dans la connaissance de la
cuisine et d'ailleurs il laissa ou monde de la gastronomie de nombreuse
recettes de grandes qualités , qui survives encore aujourd'hui a sa
mémoire , ce qui n'est pas le cas de Dumas et Brisse .
MONTAGNÉ (PROSPER 1865-1948).
Ce
grand cuisinier est a la base avec Escoffier de la cuisine moderne
française , chef du Grand Hôtel et du Pavillon Ledoyen , entre autre. Il
est surtout a la base de la bible de cette cuisine moderne qu'est le "Larousse Gastronomique "
lancé en 1938 . En rejettent les décorums et autres garnitures inutiles
de l'héritage de Carême , il créa une cuisine vraiment basé sur le goût
et sa finesse et non son apparence , gloire lui soit rendu pour cette
avancé .
Prosper
Montagné à écrit une dizaine de livres autour de la cuisine , ils sont
encore aujourd'hui tout a fait moderne et les recettes d'actualités .
![]() |
JURY DU MEILLEUR CUISINIER DE FRANCE 1938 , P. MONTAGNÉ ET AU MILIEUX AVEC CES LUNETTE . |
MORARD ( CLÉMENT-MARIUS 1846-1891 ).
Ardent descenseur de la cuisine provençale authentique , ce cuisinier publia un premier volume des " Secrets de la Cuisine dévoilés "
, qui reprenait exclusivement des recettes traditionnelles provençale ,
le deuxième volume est inachevée , la mort de Morard y mis une fin.
![]() |
SALLE DU RESTAURANT L'HERMITAGE À MOSCOU. |
OLIVIER (LUCIEN 1838-1883).
Ce
chef d'origine Franco-Belge fut le chef des cuisines et puis le
propriétaire du fameux restaurant l'Hermitage à Moscou , crée en 1860 .
Il est très créatif en mariant les cuisines slave et française , cette
fusion donnât naissance a une cuisine en avance sur son temps et le
succès à Moscou fut immédiat .
On
lui doit notamment la salade Olivier et quelques autres spécialités ,
il tombe malade et meurt 1883 , il est enterré a Moscou au cimetière
Vvedenskoie
Le restaurant continuera à être fréquenté par l’intelligentsia Russe jusqu'à la révolution , mais celle-ci sonnera son glas .
ACHILLE OZANNE |
OZANNE (ACHILLE 1846-1896 ).

Comme
cuisinier , il travailla dans le plus grandes maisons de Paris , avec
de prestigieux collègues et ces poèmes sont des frais modèles du genre ,
des formules , des recettes , mijotées et aromatisées , qui rien qu'en
les lisant vous font exalté les saveurs aromatisées des fumets de cette
cuisines si riche qu'il chanta toutes sa vie .
PROCOPE ( FRANÇOIS ?-? ).
Italien
de naissance , né a Palerme il francisant son nom a son arrivé en
France . Arrivé en 1860 et glacier de formation ; il introduisit les
glaces à Paris , d'abord il travailla chez un marchand de café d'origine
Arménienne rue de Tournon , avant de reprendre en 1689 un établissement
rue des Fossés-Saint -Germain , rue qui devint par la suite rue de
L'ancienne-Comédie . Dans ce café défilèrent toutes les célébrités
politique et littéraires de deux siècles . Depuis Diderot , Molière ,
Voltaire , J-J Rousseau , Mirabeau , Danton , Desmoulins , etc....
jusqu'à Gambetta .
Le Procope ferma en 1892 , il rouvrit par la suite sous une forme différente et moins prestigieusement fréquenté
PRUNIER ( ALFRED 1848-1925 )
Ce
normand né en Seine Maritime , fut l'un des grands cagnant du
développement des transport de produits alimentaire par chemin de fer.
Il
débute a Rouen comme plongeur a 13 ans , et monte a Paris par la suite ,
en 1872 bien épaulé par son épouse Catherine , il ouvre un petit
restaurant ou il va vendre ce qui fait le bonheur des premiers touristes
Parisien en Normandie , les fruits de mers et du poissons, cela tombe
bien les premières liaisons ferroviaire et le transport de de poissons
et de fruits de mer dans des wagons spécialement conçu vienne de débuté .
Cela fera la fortune de Prunier et trois ans plus tard il déménage rue
Duphot dans ce qui s’appellera " Prunier" tout simplement , fréquenté
par les gens les plus en vue de l'époque Sarah Bernard , Oscar Wilde ,
Clémenceau , Marcel Proust , etc .. sa fortune et sa réputation était
faite et l'est encore aujourd'hui .
RECULET ( C. 1820-? )
Théoricien
de la cuisine moléculaire avant l'heure , ce cuisinier couche sur la
papier ces vues sur la cuisson par dissolution équilibriques ?? et la
cuisson par résorption , entre autre , dans un ouvrage parus en 1859 et
réédité quatre fois dont la dernière en 1898 , " Le Cuisinier Praticien " , tout un programme. Marqué par une grande foi catholique ils dédia son livre a la Vierge Marie
Chef
des cuisines de maison prestigieuse comme celle de la Marquise de
Courtavelles ou de la Comtesse d'Auteroches , il mit en pratique ces
théories qui consistais en divisant les aliments , entre autre , et donc
leurs cuissons en viandes températives ?? ou en permanentes selon leurs
leurs origines et de même avec les autres matière comestible , ce
théories eurent un certain succès à l'époque .
Jugé
prétentieuse par d'autre et assez incompréhensible , il se fit autant
d'ennemis que de fidèles et a l'époque les jalousies entre cuisiniers et
hommes de goûts était assez saignantes , si je puis dire.
On
ne peut cependant lui dénié d'avoir essayé de comprendre avant d'autre ;
les mécanisme cellulaire et scientifique des cuisson des aliments .
![]() |
REFORM CLUB À LONDRES FIN XIXe . |
SOYER (ALEXIS 1809-1858 ).
![]() |
CUISINE D'UN HOPITAL EN CRIMÉE , ORGANISÉ PAR SOYER |
Bien
des cuisiniers français on traversé la manche pour y trouvé du travail ,
les anglais quoique l'on dise aimait depuis longtemps cette cuisine, la
guerre de cents ans et sa longue occupation d'un bon tiers de la France
avait fait aimé les délices de la douce France et si la cuisine
anglaise pouvait être considéré comme insipide , cela n’empêchait
nullement la noblesses et la bourgeoisies locales d'engager des
continentaux pour dirigé leurs cuisines et goûté les mets français.
Soyer est une des plus remarquable réussite des cuisiniers français en
Angleterre , destinée a être prêtre par ces parents il réussit a se
faire renvoyer du petit séminaire et entre comme apprenti au restaurant
Grignon à Paris , il en deviendra le chef de cuisine et à 21 ans et par
la suite devient deuxième cuisinier tournier chez le prince de Polignac
au ministère des affaires étrangère
La
révolution de 1830 et ces graves désordres , l'oblige a quitté Paris
pour s'embarquer pour Londres ou il rejoint son frère qui le chef des
cuisines du duc de Cambridge , vont suivre pour lui une carrières dans
les plus grandes maisons noble du royaume . En 1837 il a la chance
d’être nommé chef au "Réform Club " qui était le plus renommé des
club anglais , accueillant la gentry et même les tètes couronnées . Il
rénove la carte et les installations , modernisant cette établissement
qui était resté dans le passé , tellement bien rénové qu'il en faisait
visité les cuisines et la salle en tour organisé . En 1838 il organise
le déjeuner du couronnement de la reine Victoria.
Devenu une personnalité importante du tout Londres après avoir épousé une actrice a la mode Emma Jones . En
1848 la mort de sa femme le voit se consacré au ouvres charitables ,
notamment en Irlande au cours de la fameuse famines suite a la maladie
de la pomme de terre .
La
révolution indus trille naissante le vois inventé ce que l'on
appellerait aujourd’hui , le petit électroménagers , une cafetière
magique , une machine a cuire des œufs , un fourneaux magique.
En
1850 , il quitte le Reform Club, pour ouvrir son restaurant à
Kessington le quartier le plus chic de Londres , ce seras un échec et
Soyer auras beaucoup de mal a s'en remettre et en 1855 il part en Crimée
pour aider la fameuse Florence Nightingale a organiser
l’approvisionnement des hôpitaux militaire, il recommande les gâteaux
sec a base de légumes pour contrer le scorbut qui fait plus de morts
dans le rangs anglais que l'armée ennemie.
Il
mettra aux point aussi pour l'armée britannique des menus militaire qui
resteront en vigueur jusqu'au années 1930 . Auteur d'un livre qui
traitait de la cuisine pour les pauvres qui aura un énorme succès "A
Shilling Cookery " et de multiple autres livres de vulgarisation de la
cuisine française en anglais , il meurt en 1858 à 49 ans , il est le
créateur de la fameuse sauce reform et d'autre spécialités
anglo-francaise.
![]() |
ALEXIS SOYER ET SA DRÔLE DE TENUE ( proche d'une tenue de bachi-bouzouk )DE CUISINIER EN CRIMÉ . |
TORTONI ( GUISEPPE 1775-1864 ).
Célèbre
glacier italien qui débuta à Paris comme garçon de laboratoire, amené
par son patron appelé Velloni . Voyant l’intelligence de son garçon ,
Velloni qui ne brillait pas beaucoup dans ses affaire lui remit son
principal établissement , situé au coin de la rue Taitbout et du
boulevard des Italiens , à Paris . Crée en 1798 le café qui allait
devenir le café Tortoni suivit la destinée du Procope avec une
clientèles peut être plus politique , Tortoni mourut en 1864 , son
établissement lui survécut jusqu'en 1893 . Sa fermeture fut considéré
comme une catastrophe par les journalistes politique et correspondants
étranger .
UDE (LOUIS-EUSTACHE ?-?)
Cuisinier français ; fut l'un des premiers à vulgariser en Angleterre la haute cuisine française .
Ayant
débuté comme apprenti a la cour du Roi Louis XVI ,il monta un à un les
échelons du métier pour se retrouvé , au début du XIXe , maitre d’hôtel
de la princesse Lætitia Bonaparte , qu'il quitta pour se rendre en
Angleterre , prendre la direction des cuisine de lord Sefton , ou il
demeura pendant vingt années . Le richissime seigneur , qui passait pour
le roi des Épicuriens anglais , récompensa les services de son
cuisinier en lui laissant à sa mort une rente annuelle de cent livre
sterling ( équivalent à 2.500 francs de l'époque , le salaire annuelle d'un ouvrier à l'époque était de 800 francs ).
Ude publia " The French Coke ",
premier ouvrage culinaire qui parut à Londres . Son succès fut éclatant
et posa Ude comme l'un des régénérateur de la cuisine Anglaise .
Article très intéressant et documenté. Dommage que sa qualité soit détruite par un nombre incalculable de fautes d'orthographe, vraiment dommage.
RépondreSupprimerJean-Michel 71