-NAPOLÉON , n'a pas spécialement marquez la gastronomie par ces innovations , il aimait mangez , mais n'aimait pas perdre de temps à table , comme les rois de France le faisait avant lui , et il est à noter que les plats qui sont marquez de sont empreintes , son le fait de son cuisinier ou maître d'hôtel , selon les appréciations ,DUNAND , on sait peut de chose sur lui et il semble avoir une vie discrète contrairement à son maître .
Le grand Carême qui suivi la gloire et la vie courte de Napoléon , mis à l'honneur les décorations tarabiscoté , très en phase avec le temps et le goût pour le décorum , et on se demande si il n'était pas plus décorateur que cuisinier .
ANTONIN CARÊME . |
Le dîner restait établi de 14 h jusqu'au environ de 18 h. , ses repas était assez décousu et comportait de nombreux plats salés et sucrés et rots.
Le souper lui avait lieu vers la fin de la soirée et cela jusqu'à minuits , comportait lui aussi de nombreux plats et sucrerie dans un ordre qui ferait hurlé de rage touts les diététiciens moderne .
TALLEYRANT. |
Barras luis mangeait tout le temps et beaucoup , nous laissât beaucoup de recettes et mourût a 74 ans .
Talleyrand u la bonne idée d 'engager le célèbre Antonin carême , dés 1804 pour faire de la cuisine de sont château de Valencay et de sont hôtel particulier de paris , le véritable moteur de la nouvelles cuisine française de l'époque et mettre les talents de son chef au service de la diplomatie de l'empire.
Pendant se temps la , comme dit la chanson , le peuple se couchait tôt et se levait à l'aube, les journées rythmée par le soleil .
Déjeuner à 8 ou 9 H. , dîner vers 13 h. et souper le soir à 8 ou 9 H .
Les repas se constituait d'une soupe au pains le matin ( la célèbre panade ) ou d'un bouilli , à 14h. du pains et du fromages et dès fruits , et la travail fini , au souper d'un rôtis ou de viandes dans le bon jours , le plus souvent un brouet .
LE VICOMTE DE BARRAS |
Les produits consommé n'était pas différents du siècle précédents et il fallut attendre les années 1830 pour voir évoluer la consommations avec améliorations de transport , qui amenas les produits de la province et de l'étranger a la portée de plus de monde .
-QUEUE DE BŒUF EN HOCHEPOT-Ce vieux plat français était très en vogue durant le règne du petit caporal.
La queue de boeuf est coupée , en tronçons à l'articulation . Les faire blanchir 10 minutes , les rincer , et les mettre dans une marmite avec 2 pieds de porc tronçonnés et une oreille de porc .
Traiter comme un pot -au-feu en écumant soigneusement . Après 3 heures de cuisson du tout ,rajouter 1 chou coupé en quatre , des carotte , oignon ,navets, blancs de poireaux , crosnes , topinambour , entier de préférence, ainsi que un bouquets garnis et l'assaisonnement normale et remettre a cuire sur le coin du fourneaux .
Au bout d'une heure de cuisson , dresser les légumes au milieu du plat avec la queue de bœufs , et les oreilles et pieds de porc autour.
A l'époque on rajoutait des chipolatas pour faire un bon poids et des pommes de terre à la vapeur , inutile d'ajouter que la cuisson constitue la soupe idéale pour le soir.
-QUEUE DE BŒUF À LA SAINT-GERMAIN -Faites cuire votre queue de boeuf seule comme pour la queue en hochepot , au bout de 3 heures de cuisson rajoutez des pois cassés , des carottes et des oignons émincés , ainsi qu'un bouquet garnis de des tranches de lards salée .
Remettre à cuire a feux doux pendant 1 heure , puis retirez la queue de bœufs et laisser finir de cuire les pois cassés pour qu'il s'assèche , remplir le fond d'un plat creux des pois cassés et de la garniture de légumes et dressez les morceaux de queue par-dessus.
Servir avec des croûtons frit et le tout persillées .
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